L’année dernière, j’ai traité du problème de la confiance en amour dans mon billet intitulé “existe-t-il un amour garanti sans risque?” mais derrière cette question se cache aussi une autre problématique, celle de la peur de l’échec, peur de la perte et de la souffrance qu’elle engendre. Dans le billet pré-cité, j’ai tenté de démontrer qu’accorder sa confiance, aimer, c’est forcément prendre un risque (nécessaire) mais je voudrai aller plus loin encore dans cette réflexion et soulever un paradoxe (qui n’en est pas un) en mettant au jour le rapport étroit qui existe entre amour/bonheur et souffrance pour donner ainsi des éléments de réponses aux personnes (trop nombreuses) pour qui l’idée de la souffrance en amour est plus ou moins consciemment devenue un frein pour ne pas dire un facteur totalement paralysant.

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